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 Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze

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ð X-23 ð
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X-23


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MessageSujet: Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze   Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze Icon_minitimeJeu 30 Juin - 7:44

Le cadran accroché au mur m’indiquait les sept heures du soir. Le soleil n’allait pas tarder à se coucher, alors que moi, encore une fois, j’allais me lever de ce siège et revêtir des atours ô combiens spéciaux. Nous étions jeudi et normalement, cette soirée aurait dû être dédiée au boulot normal, celui qui me rapporte de l’argent et qui réussit – le mot est trop fort il me semble – à me faire vivre. Je n’avais pas cette unique activité, il y avait aussi l’université, mais nous sommes tous d’accord avec ce point, ceci se passe à une heure antérieure à celle-ci. Le mot qu’il fallait prononcer à cet instant était unique en son genre. Celui que j’appréciais pour sa sonorité, mais aussi pour ce qu’il me réservait bien souvent : mission. Elle avait été émise de la bouche de Cap il y a quelques jours, et j’avais fini par y être affectée – contre l’avis de beaucoup de mes collègues résistants, je l’avoue. Si toutes mes missions chez la Résistance avaient été d’un éclatant succès, je n’avais pas eu froid aux yeux en acceptant cette requête-ci, sensée être plus corsée. D’autant plus que je devais m’y rendre seule, proposition que j’avais faite entendre puisque la discrétion était de mise. Ils avaient acceptés, naturellement.

Je pris soin de sortir par la fenêtre, chose que je ne faisais pas habituellement, cela va de soi. Retombée sur mes pattes telle une féline créature, dans cette ruelle du Bronx que je devais quitter à tout prix afin de ne pas me faire repérer d’une quelconque façon que ce soit. J’avais déjà prit toutes les informations nécessaires au quartier général, ce qui me dispensait de m’y rendre en ce début de soirée. Le quartier venait à peine de se réveiller. On voyait un rideau se lever, laissant alors libre cours aux activités nocturnes, qui n’avaient rien à voir avec celles, plus honnêtes et banales, que l’on avait à faire le jour. Un nouveau monde auquel j’avais longtemps fait partie moi aussi. J’ai rencontré sur ma route des groupes de jeunes garçons, le dos courbé, les vêtements affaissés…des jeunes femmes solitaires aussi, peu vêtues – elles me faisaient revenir quelques mois en arrière. Je portais un blouson court, capuche molletonnée sur la tête afin de dissimuler mon visage. Seuls mes atouts féminins, que ce soit poitrine ou cheveux, étaient là pour informer – discrètement mais sûrement – mon appartenance.

Au lieu de m’occuper à chercher un taxi, j’ai préféré prendre mes jambes et y aller « manuellement ». Le genre de choses que peu de femmes faisaient, à moins que l’idée initiale soit de perdre des kilogrammes en trop (soi disant). Ce qui n’était pas mon cas. J’avais beau me goinfrer de nourriture, mon entrainement intensif faisait tout partir. Ou plutôt, ne laissait plus aucune graisse s’installer. Cinq kilomètres au nord de la ville, pas de quoi en faire un fromage. La mission ? J’avais oublié d’en préciser l’objectif : nettoyer un bâtiment sous haute surveillance, et récupérer un objet convoité par la Résistance, et qui, selon certains, nous permettrait d’accéder à des technologies plus performantes.

Perchée sur la branche d’un arbre, je visualisais la situation. Il y avait cinq gardes armés à cette entrée. Pas grand-chose. Les autres issues quant à elles recelaient plus d’effectifs. Ce n’était pas un problème. Je me suis laissée tomber en douceur sur le sol. Je me suis faufilée le plus rapidement possible jusqu’au mur, sur lequel j’ai grimpé grâce à mes griffes. J’ai penché ma tête pour apercevoir les cinq crânes que je convoitais. « Interdiction de tuer » ? Ceci n’était écrit nul part. J’ai pivoté et j’ai glissé le long du mur. Ils lèvent le nez en l’air. J’enfonce mes quatre griffes dans deux dos. Les trois autres se retournent. Un coup de pied dans la gorge, la griffe se loge dans son larynx. Mon corps est souple, il danse comme une simple onde dans une flaque d’eau. Le mouvement de rotation lui décroche la tête des épaules, mes pieds sont à nouveau au sol, j’esquive un coup de crosse en m’accroupissant, je lui rentre dedans en bélier, l’élan me permet d’entourer son cou de mes deux jambes. Mon genou contre sa joue pour mon autre jambe derrière son crâne. Il est brisé. Je retombe par terre, mains les premières, et en finit avec le dernier qui aura réussit à m’érafler au visage. Le pass en mains, l’entaille s’était déjà refermée.

Je m’introduis dans les locaux grâce à la « clé » qui était présente sur l’un des gardes à l’entrée. L’éclairage est moindre, je décide de me déplacer sur le plafond de la même façon que sur le mur à l’extérieur. J’entends des bruits de voix. Je me rapproche petit à petit de l’endroit donné. Puis je m’arrête enfin. Les hommes d’en dessous sont vêtus d’une blouse blanche. Je ne comprends pas. Ce n’est pas une base comme on me l’avait décrite. Je me décide finalement, après avoir brisé la première caméra qui se trouvait dans le recoin du couloir. De nouveau sur la terre ferme, mes griffes vont et viennent dans chacun des corps. Le sang m’éclabousse, je m’en fiche, parce que j’aime ça. Et puis j’entends un ricanement. Un ricanement sordide. Je tourne ma tête brusquement vers l’origine du son. Un nombre incalculable de bonhommes armé me pointent de leur fusil. Des points rouges de part et d’autre de mon corps. Je n’ai pas peur. Les balles ne m’arrêteront pas.


??? : X-23, quelle surprise !

Je fronçais les sourcils. Il se moquait. Il me voulait. M’enfermer ? Jamais de la vie ! Je me suis laissée à mon envie de meurtre et j’ai foncé dans le tas en hurlant des obscénités. Trop de souvenirs douloureux me revenaient. L’Arme X, cette femme, ma mère. Kimura n’était pas ici. Ce n’était pas le même projet. Ce n’était pas la même personne. Que savaient-ils de moi exactement ? Les balles s’encastrèrent dans mon corps, des détonations s’enchaînèrent, sans pour autant que je fléchisse. Les pions tombaient un à un. Mon esprit était fort occupé par cette tâche, à savoir le « ménage », la chose à laquelle j’étais particulièrement douée il fallait l’avouer. Jusqu’à ce que je me rende compte qu’au bout du couloir, une surprise m’attendait. Je pensais avoir à faire directement à la « voix ». Je suis tombée sur un robot à la pointe de la technologie. Des harpons me transpercèrent, je reçus une décharge d’électricité lourde. J’ai réussis à trancher quelques câbles mais je me sens lourde. Et je tombe comme une pierre.

Alors je vous le redemande encore une seule fois…quelle est ma mission ?
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ð Keiji Hanatori ð
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Keiji Hanatori


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MessageSujet: Re: Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze   Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze Icon_minitimeSam 2 Juil - 8:45

Keiji dormait, la tête pendant en arrière avec un reste de pizza sur son t-shirt et la télévision allumé avec les statistiques de plusieurs joueurs en ligne d'un jeux vidéo appeler call of duty black ops. Le japonais avait jouer a ce jeux toute la journée, se nourrissant de pizza tout garnis des restaurants Domino's Pizza et de litre de pepsi. Son chien dormait lui aussi, il avait passé une tout autre journée aujourd'hui. Il avait passé plusieurs heure dans un centre de nettoyage pour chien et chats, massage intégrale, laver des pieds a la tête, griffes couper, dents brosser avec une pâte a dent a saveur de bœuf et un repas spécialement fait pour lui avec une double de dose de vitamines.

Tout ca pour terminer avec un chien tout propre, tout beau. L'animal avait grandit également, il avait atteint la moitié de sa taille d'adulte et avait même muer de la gueule, mais son attitude restait toujours la même. Un chien enjouer qui adorait jouer et avoir des câlin et des caresses. Son passage au spa était vraiment visible, son poils noir et blanc avait plus de couleur et sa fourrure semblait plus douce en apparence. Keiji aurait put tout lui donner ça aujourd'hui, lui donner lui même un bain et tout le reste, mais le japonais n'avait pas le temps. Il avait une partie de call of duty a terminer et il voulait augmenter son score initial sur les partie en ligne !.

Une alarme sonna, réveillant le dieu japonais en sursaut qui tomba en bas du sofa en essayant de se lever de manière maladroite. Le japonais, suivit de son chien qui s'était également réveiller, se dirigea vers la salle d'ordinateur. C'était un pièce unique, comme toute celle dans l'entrepôt désaffecté que Keiji avait réaménager pour en faire un lieux pour vivre. Il y avait plusieurs étagères en métal supportant le poids d'ordinateur et de moniteur dont plusieurs avait une tache bien définit pour rendre possible l'emploi principal du japonais, courtier en information. Son travail était simple et compliquer a la fois, il achetait et revendait divers informations sur des lieux, des affaires, des objets ou des personnes a travers le monde pour les gens qui contactait ses intermédiaires, c'était sa façon a lui de garder son anonymat. Personne savait ce qu'il fessait et il s'arrangeait pour que cela reste ainsi !.


-Statut ?!, demanda le jeune homme en s'installant sur l'unique chaise qui se trouvait dans la pièce.

-Alerte de niveau 3, déclara une voix féminin synthétique, Sujet: Laura Kinney, alias: x-23, lieu de départ: domicile, adresse: inconnu, lieu d'arrivé :245 bayview, bronx.

-vidéo ?

-une seule monsieur, liaison part satellite en cours, liaison part satellite achevé.

-montre moi la vidéo de Laura sur l'écran principal s'il te plait.

Il vit sur l'écran, cinq hommes en armes, des mercenaires aux premiers abord, se faire tuer un après l'autre part une femme. Il aurait put dire une ombre tellement elle avait agit vite, comme si c'était naturel pour elle. Il savait uniquement que c'était Laura parce que l'intelligence artificiel que Keiji avait créer et installer sur son ordinateur en y ajoutant des protocoles spécifique de conduite pour éviter que sa création devienne dangereuse pour lui. Il n'avait pas envie d'être responsable de l’avènement d'un nouveau SKYNET !.

-elle est en mission, captain america le lui a confier.

Il était au courant de la plupart des missions que son chef donnait au membre de la résistance puisqu'il avait convertit plusieurs appareil en micro et camera dans plusieurs pièces de la base secrète de la résistance. Il voyait cela comme une sorte de sécurité pour tout le monde, ainsi si quelqu'un en mission était dans une impasse, il pouvait envoyer du renfort ou assister cette personne part radio, si cette même personne avait un quelconque appareil qui lui permettait de communiquer a distance.

-justement monsieur, j'ai prit soin de m'introduire dans les base de donné de la ville et ce bâtiment ne figure sur aucune liste des registres d'infrastructure de la ville. J'ai remonté jusqu’en 1900 et il n'y a rien. Je viens de faire un scanne du bâtiments, regarder part vous mêmes.

Une projection en trois dimension de l'immeuble apparut devant le japonais. Il remarqua vite une ligne qui s’enfonçait dans la terre et qui semblait continuer bien plus loin encore.


-ce n'est pas la plomberie je suppose ?.

-non monsieur c'est un ascenseur. J'ai scanner plus en profondeur, il s'agit d'une base militaire construite durant la construction des lignes de métro du bronx en 1903. Elle s'enfonce sur 6km sous le sol terrestres et s'étend sur 4 km. Des recherches approfondit mon permis de constaté que cette base a été mit en activité a trois reprise après la fin de sa construction en 1912. Mais leur utilisateur est différent a chaque fois.

-épargne moi les cours d'histoire, je veux un scan complet sur ce que trafic c'est personne la dedans et si sa un rapport avec X-23.

-très bien monsieur.

Le temps passa, Keiji tapait du pied sur le sol, démontrant son impatience face a la situation. Il n'aimait pas attendre ce genre d'information, mais il n'avait pas le choix pour éviter trop de liberté a son I.A.

-Monsieur, les recherches primaires sont terminé. Il y a plus de deux cents mercenaires engagé dans le complexe, mais aussi du personnel médical et d'entretien. J'ai découvert qu,au cours des derniers mois il y a eut beaucoup de transaction pour du matériel militaire et médical. Le nombre de spécialiste médical est pour le moins étrange et inquiétant, plusieurs biologiste, chimiste et psychanalystes, mais également des médecins. Je dénote également que la plupart des appareils médical et produits acheté sert principalement pour endoctriner et cloner des animaux, dans un certain cas, des humains. Les militaires sont armée d'équipement standard et ont été choisit pour leur capacité a obéir aux ordres et leur aptitudes martiales, apparemment.

-qui les finances ?.

-aucun gouvernements a priori, mais deux options logique sont a considéré vue que mademoiselle Laura est impliqué. L'arme X ou un groupe bio-terroristes. Dans les deux cas, mademoiselle Laura est en danger Monsieur.

-Décrit moi le complexe s'il te plait et le système de sécurité mit en place dedans !.

-le complexe comporte plusieurs pièce principal dispercer en quatre étages. Ils disposent de locaux pour le personnel, pouvant loger quatre cent personnes. Les laboratoires se situe au troisième étages, alors que les salles de confinement sont au dernier étages. Le deuxième étages sert pour loger le personnel et comporte divers salle aménager pour la détente et l'entrainement au combat en situation réel. Le premier étage comporte le centre médical en cas de blessure grave, ainsi que le générateur géo-thermique secondaire, le premier se trouve dans l'étage de confinement, et le garage ou est entreposer les véhicules. Je voit également un tunnel qui est relier au quai jusqu'au complexe, utiliser pour passer leur matériels ou pour évacuer la base en cas d'attaque massive. Le système de sécurité est très élaborer, chaque pièce peut être sceller de manière indépendante ou entière en quelque minutes. Chaque couloir est munit de caméra multi-directionnel et de détecteur de mouvement. Je dénote également que pour avoir accès a différente pièce une carte magnétique est requis ainsi qu'une identification digital.


-En gros, c'est des pro. Très bien, merci Avina. Reste connecté et je veux savoir qui finance ces types.

-dois-je prévenir captain america ?.


-non, je vais sortir laura de ce merdier avant qu'elle soit couper en morceau pour je ne sais quel plan débile du super-soldat.

Le japonais se dirigea vers son armurerie, retirant ses vêtements en route pour enfiler un treillis noir, des bottes en cuirs de types militaires et un t-shirt moulant noir. Il remplit un sac de voyage de bombe adhésive, de grandes fumigènes et aveuglantes. Il s'arma d'un arc compound avec un carquois remplit de flèches. Son arc était fabriqué pour résister a la pression de sa force surhumaine, ce qui rendait ses tirs extrêmement puissant, la pointe des flèche étaient en titane. Il avait tester cet arc une fois, la force de puissance était tel qu'il avait l'impression d'avoir une baliste miniaturiser dans les mains. Le japonais regarda la pointe d'une des flèches en souriant.


-ils vont la sentir passé.

Il emporta sa dague magique avec lui, ainsi que deux ninjato en prévision de combat au corps a corps.Ses préparatif terminer, une veste en cuir pour compléter sa tenu, il était partit. Il s'envola, grâce a des petits tourbillons de vent qui le soulevait, pur se rendre jusqu'au complexe secret. En chemin il activa son omnitech afin d'être en contact avec Avina qui la guiderait dans le complexe.

Il fessait nuit noir sur les lieux et Keiji se coucha sur le bord du toit d'un immeuble pour ne pas se faire repérer part les militaires en poste sur les toits. Son plan était simple, il devait empêcher tout évacuation du complexe impossible et pour ça il devait bloquer le tunnel. Il fit une recherche rapide sur son omnitech et fut rassuré de voir que aucun bateau ou hélicoptère avait quitté le pays au cours des dernières heures, Laura était toujours dans le complexe !. Le japonais regarda autour de lui avant de s'envoler a nouveau jusqu'au tunnel qu'il truffa de bombe adhésives, tous relier a un seul détonateur, son omnitech. Il se mit a courir dans le tunnel, la force dans ses jambes lui permettait de couvrir de grande distance sans problème. Il encocha une flèche lorsqu'il vit la lumière au fond, signe qu'il arrivait a la base.

Le premier garde qu'il vit fut empalé sur un mur avec une flèche enfoncer dans la poitrine, le second fut plaquer au sol violemment avec un trait dépassant de son crane. Le sol trembla et l’alerte fut donné, Keiji venait de faire exploser le tunnel. Un garde tenta de le frapper avec une matraque électrique, mais le japonais était plus rapide et plus fort. Son pied rencontra le visage de son adversaire qui s’écrasa au sol en fissurant le plancher a l'impact. Le jeune homme emprunta un escaliers, arriva dans un bureau vide avec un ordinateur. Avec un cable usb relier en son Omnitech il pirata l'ordinateur en quelque seconde et put avoir accès au complexe entier ainsi. Il envoya son virus informatique préférer, Titan. Avec ce virus il eut accès au système de sécurité en entier qu'il désactiva pour éviter qu'il reste coincer en partant a la recherche de Laura. Avina lui montra le chemin adéquat pour se rendre jusqu'au quatrième étage.

Il suivit la route, comme un fil d'Ariane, rencontrant de la résistance sur sa route. Mais il s'en fichait, les balles rebondissait sur sa peau et ses flèches harponnait littéralement ses cibles a chaque coup. Mais bien vite il se retrouva a court de projectile, si bien qu'il se mit a danser avec ses lames. Créant un sillon de mort et de sang, coupant et tranchant tout ce qui avait le malheur de se dresser entre lui et son objectif. Bien vite il fut recouvert de ce liquide rouge et chaud, lui donnant plus les airs d'un démon sanguinaire que d'un dieu amical, sarcastique et geek !.

Il arriva finalement au centre de confinement,il ne restait plus grand chose de sa veste, ni de son t-shirt, détruit part les impact de balle et les brulure des explosions de leur grenades. La aussi il dut faire face a un groupe de mercenaires. Ses lames chantèrent alors que ses adversaires hurlèrent leur douleur. Au bout de son combat il se retrouva devant la porte de la cellule de Laura, a l'intérieur il trouva un homme en blouse blanche, un scalpel a la main et juste a coté une mallette contenant plusieurs échantillon de peau, de sang et de cheveux. Laura ne pouvait rien faire, sauf se débattre puisqu'elle était pieds et poing lier part des entraves en aciers. Ses mains étaient recouvert dans une sorte de gants en métal, pour éviter que ses griffes blesse quelqu'un apparemment. Ses pieds avaient le même types d'entraves. Le scientifique se retourna en voyant Keiji et blêmit en voyant les mains du jeune homme saisir son visage. Un craquement écœurant s'en suivit et le japonais jeta la tête du scientifique sans éthique dans un coin avant de libérer Laura.


-Tu vas bien ?, viens j'en ai assez de ce trou.

Il sortit de la pièce et vit un groupes de mercenaires se masser part dizaines avec leurs armes. Le japonais ne dit rien, pas de place a la négociation a présent. Il se mit face a eux, ses mains bougèrent comme des serpents, évoluant dans un mouvement pied précis pour terminer brusquement les paumes lever vers les mercenaires. Alors une violent bourrasque de vent s'éleva, projetant les mercenaires avec une violence incroyable dans tout les sens. Les premiers étaient mort sur le coups, mais les autres se relevaient péniblement, le premier debout n'eut pas le temps de bouger qu'une lame volait vers lui en tournant et s’enfonçait dans sa poitrine alors que son propriétaire fonçait vers lui pour retirer la lame en même temps qu'il montait sur ses épaules pour sauter vers un autres mercenaires. La second lame s’enfonça dans l'épaule d'un autre mercenaire en même temps que le japonais touchait le sol, coupant en deux l'humain. Il évita une épée et trancha la gorge de son attaquant dans le même mouvements. Une autre danse mortel s'ensuivit. Un chemin macabre jusqu’à l'ascenseur.
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MessageSujet: Re: Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze   Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze Icon_minitimeSam 16 Juil - 4:25

Dans mon esprit, le trou noir. Je n’avais pas reçu de coup aussi violent depuis ma confrontation avec Kimura. Je m’en étais tranchée mon bras pour pouvoir m’en sortir, chose que peu auraient fait – tout du moins je le pense. Ça ne faisait aucun doute, ils me connaissaient plus que de nom. Avaient dû, également, emmagasiner un maximum d’informations à mon sujet, de la façon la plus informelle qui soit, bien évidemment. Toutes ces magouilles ne me surprenaient plus réellement à vrai dire. Le monde avait donné naissance à une multitude d’êtres aussi infâmes que puissants. Je ne m’incluais pas dedans. Pas que mon estime de moi-même ait changée, bien au contraire. J’étais une erreur. Et ça, personne ne pouvait le contredire. Pas même le plus responsable des mutants.

Mes paupières étaient lourdes. Je reprenais petit à petit le contrôle de mes membres, sans pour autant pouvoir les bouger…en effet, ceci fit tilt dans ma tête : j’étais prise au piège. Une simple décharge électrique, des harpons en apparence bénins avaient réussis à me mettre à terre ! J’en étais rouge de honte. D’ailleurs, à ce moment là, je ne pouvais avoir que honte. La colère pouvait elle aussi apparaître, mais elle était déjà omniprésente. Une rage sans nom qui me faisait perdre la tête. Et quelque chose me disait qu’ils pouvaient facilement mettre la main dessus. Mes entraves n’avaient rien de banal puisqu’elles recouvraient mes avant-bras et mes pieds. J’ai commencé à tirer de chaque côtés, mais même ma force surhumaine ne pouvait m’aider.

Entre mes mèches de cheveux qui cachaient partiellement mes yeux, mon regard, lui, était planté dans celui qui bidouillait je ne sais quoi sur sa machine. Le plus proche, celui qui avait une blouse blanche. Des abrutis qui s’amusaient à jouer aux apprentis sorciers. Je me débattais comme je pouvais, en vain. Les yeux injectés de sang, je l’insultais.


Laura : Relâchez-moi, bande d’enflures ! Je vais vous éclater, tous autant que vous êtes !

Et je me retenais. Je me retenais de leur dire ce que j’allais leur faire subir une fois délivrée de mes chaines. Mâchoire serrée, j’avais depuis quelques minutes perdu mon calme olympien. Je changeais du tout au tout, et ça me faisait du bien malgré les apparences. Je revenais des années en arrière, certes. Je n’avais jamais pu faire le deuil de quoique ce soit, la mort de ma mère, mon passé dans ce genre d’endroits clos, à m’entraîner sans cesse. L’objectif était de tuer, tant que j’avais des cibles. Arrivée à ce point, je pouvais prendre la mouche pour un rien et virer de bord…une évolution antérieure n’est jamais à l’abri d’une régression. Je la sentais au plus profond de mon être.

Au delà de toutes ces retraversées macabres, une lumière, tout du moins ça en avait l’air. Moi qui avais commencé à réfléchir à un plan B, je venais de me faire couper l’herbe sous le pied. La tête du scientifique fit un vol sans escale dans la pièce, tandis que la personne – je l’avais reconnue – faisait de son possible pour me détacher. Les bracelets métalliques finirent par se séparer les uns des autres pour me laisser la liberté. Une goutte de sueur roula le long de mon visage.


Keiji : Tu vas bien ? Viens j’en ai assez de ce trou.

J’ai fais un petit bond afin de retrouver la terre ferme. Mes griffes percèrent la chair de mes mains puis s’encastrèrent dans le corps encore chaud de celui qui avait voulu faire de moi son cobaye. Il fallait que je me défoule sur quelque chose avant de finir par traquer tous les individus présents dans ce bâtiment. De toute façon, ma mission était claire, nette et précise : faire le ménage. Il n’y avait pas plus simple. Mais au delà de la mission propre, il y avait autre chose, à savoir un potentiel piège. J’étais tombée dedans. Keiji m’avait tirée de là. Et…je n’avais pas aimé du tout.

Laura : Qu’est-ce que tu fiches ici ! Personne n’a pu t’informer et… rah !

Je me suis coupée dans mon élan. Tout est allé très vite, j’étais désarmée de toute morale, alors je lui ai hurlé quelques paroles inutiles.

Laura : Laisse-moi crever en paix !

Complètement inutiles je vous l’accorde. Il y avait d’autres façons bien plus amusantes de mourir. Et je n’avais aucunement prévu de finir mes jours dans ces locaux, à moins d’être totalement frappée. Non, je ne voulais pas rester là et me laisser crever. Je voulais finir ma mission avant toute chose, quitte à me faire tuer. Avec un sans alliés, ce qui laissait supposer qu’une aide extérieure (je l’ignorais être dans mon propre camp) ne serait pas rejetée. Toujours est-il que je me suis emportée, déjà très remontée par rapport à ma capture, il avait simplement fait office de souffre-douleur (le mot doit être trop fort, sans doute).

Je suis passée devant lui pour engager le pas. Je m’excusais intérieurement de toutes mes forces, mais aucun son ne sortait. Il m’avait tirée de là, je lui devais quelque chose. Si nous en sortions vivants – ce qui était fort possible – j’irais lui poser la question directement. Une dette non payée n’a jamais eu quelque chose de bon pour moi. Je me suis stoppée nette, Keiji à mes côtés. La façon dont il se déplaça avait quelque chose d’extraordinaire. Plus qu’étrange en tout cas. Une bourrasque sans nom s’abattit sur leurs assaillants, en tuant une majeure partie. Je les regardais mourir les uns après les autres. Sans m’en être rendue compte, j’avais souri.

Nous avons poursuivis notre marche – presque – silencieuse. Je n’avais pas peur. Je bouillonnais de l’intérieur. Il fallait que…de nouvelles têtes arrivent, à l’intersection du premier couloir. Je stoppe mon avancée, et prend le temps de les fixer. Eux n’attendent pas vraiment, certains manquent de rire en me voyant. Mauvaise idée. Leurs langues méritaient d’être tranchées. Je me suis élancée vers eux. Ils ont dégainé, quelques balles se sont logées dans mon corps, pour en ressortir aussi audacieusement qu’à leur entrée. Je les assainît de coups. Je déchire leur chair comme de vulgaires morceaux de viandes. L’abattoir exclusif avait un nom : X-23.

L’odeur comme la présence même du sang m’avait détendue. Nous arrivâmes à l’ascenseur, et pour l’avoir vu se déplacer en sa direction, j’en déduisis que c’était l’endroit où nous devions arriver. Nos deux corps dans la boîte métallique, j’ai pressé de mon doigt ensanglanté sur l’une des touches. Les portes se referment. Je retire mon doigt, laissant une trace rouge sur le chiffre fluorescent. Et puis j’ai planté mes yeux dans les siens. Mon regard en disait long.
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ð Keiji Hanatori ð
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Keiji Hanatori


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MessageSujet: Re: Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze   Laisse-moi crever en paix ! / PV Kamikaze Icon_minitimeJeu 21 Juil - 21:41

Les lames tournaient en décrivant des arc de cercle mortel ou s’enfonçaient a coup d'estoc dans la chairs des mercenaires. L'une des lames de son ninjato se coinça dans la gorge d'un mercenaire, le japonais la laissa la ou elle était. Ce n'était qu'une arme, il pouvait en fabriquer une autre ou tenter de s'en procurer une dans les forges de Ama en entrant en contact avec des agents intermédiaires comme des esprits de la nature ou les renards blanc de Inari.

Après avoir laissé ses adversaires mort ou trop blessé pour bouger, Keiji entra dans l'ascenseur et s'adossa contre un mur pour reprendre son souffle et enlever le sang sur son visage en passant sa main dessus. Il n'avait pas écouté Laura, il ne prêtait pas vraiment attention aux paroles inutiles. Il ouvrit finalement les yeux lorsque l'ascenseur commença a monté et sursauta en voyant que Laura le fixait.

-quoi ? , dit-il en levant légèrement un sourcil, tu veux me violer ?...oh tu veux savoir le pourquoi du comment ?!...je cherchais les toilettes et j'me suis perdu en route..

Il savait que ce genre de stupide blague ne ferait pas une ride a la jeune femme et qu'il risquait juste de la faire perdre patience. Il soupira et décida finalement de lui dire la vérité.

-j'espionne les ordinateurs de la résistance et j'analyse parfois certaine mission que Captain reçoit avant qu'il ne les transmette aux membres. La plupart vienne de source anonyme ou part l'intermédiaire de journaliste ou tout autre personne qui soutienne secrètement cap...bref Ta mission a toi était envoyer via un e-mail. Seulement le message venait d'une dizaines d'adresse IP différentes. Rien de louche a première vue, seulement elle était signée part l'un des différent pseudonyme de Nick Fury...sauf que Nick utilise trente a quarante adresse IP pour brouiller les pistes pour qu'il reste introuvable....Avina analyse les informations pendant je dors et elle a trouver la faille dans le e-mail, elle a remonté la source et a vue que l'envoyeur appartenait au même groupe qui dirige ce complexe...elle a pas encore trouver si c'est l'arme X ou un groupe militaire privé qui dirige les opérations. Et vue j'étais le seul au courant, j'ai prit les devant et j'suis venu sortir ton ptit cul de ce merdier, pas besoin me dire merci, j'sais tu ferais pas.

L'ascenseur s'arrêta brusquement, créant une légère secousse alors que les lumière principal étaient éteinte. Une source de lumière intermédiaire s'activa automatiquement. Jouant sur son omnitech, Keiji entra en contact avec son I.V.

-Avina, fais moi un topo de la situation.

Une carte holographique des lieu apparut, suivit d'un zoom montrant un couloir a la vertical avec un carré rouge qui clignotait. Avina se lança dans une série d'explication en montrant le tout sur la carte en trois dimension.

-L'ascenseur a été mit hors ligne suite a une coupure du courant principale, les freins de secours ont été activé comme le protocole l'exige. Vous vous situez a présent entre le niveau quatre et trois du complexe. Je dénote plusieurs pic d'activité dans les étages supérieurs ainsi que dans les escaliers de secours. Je peux réactiver les ascenseurs quelque seconde pour vous permettre d'atteindre le niveau trois. Je détecte une ouverture dans la porte du deuxième étage, les camera de sécurité m'indique qu'ils essaient de couper les câbles des ascenseurs. D'après mes calculs vous avez deux minutes trente sept secondes pour atteindre le troisième étage avant de tombé dans le vide. La chute ne sera pas mortel pour vous deux, mais il y a quatre-vint virgules soixante seize pour cent de chance que vous sombrez dans un semi coma lors de l'impact.

-bon très bien, réactive l'ascenseur, on va continuer part les escaliers !.

-bonne chance Monsieur !, déclara Avina avant de suivre les instructions qu'elle avait énuméré.

L'ascenseur fut prit de secousse et commença a monté lentement. Un bourdonnement intense résonna dans la petite pièce, suivit d'un gigantesque fracas.

-Ils viennent de descendre le premier ascenseur !, marmonna Keiji

Les portes s'ouvrirent un peu, laissant voir un grand couloir blanc immaculé et étrangement vide. Le japonais entra, sa main droite fermement serrer sur la poignée de son sabre. Il regrettait de plus avoir son sac sur lui, il aurait aimé placer quelque bombe dans cette partie du complexe, mais il avait laisser son sac dans l'ascenseur en ordonna a Avina de remonter l'ascenseur jusqu'au deuxième étage et d'activer toute les grenades dès les mercenaires auraient entrer dedans. Ils auraient une belle vision d’un 4 juillet en avance signé Kamikaze !.

Le couloir semblait ne jamais ce terminer et était constamment croisé part d’autre couloir qui menait vers d’autre tunnel blanc munie de porte de différent type, certaine automatique et d’autre fonctionnant avec un scanner rétinien ou digital ou les deux et d’autre avec la classique poignée de porte. Ou conduisait ces portes et ces couloirs ?, Keiji ne voulait pas le savoir, même s’il se doutait bien que le trois quart devait contenir des tas échantillons de virus, d’élément pathogène et de tout le matériel nécessaire pour travailler dans le domaine de la génétique. Il espérait juste ne pas tombé sur une pièce a la Alien, avec des dizaines de différent clone difforme de Laura et avec un dernier vivant qui avait peine a parler, mais qui répétait sans cesse la même chose: tue moi !, tue moi !. Keiji regardait trop de film S-F depuis quelque jours !.

Une impression étrange l’envahissait petit a petit, il avait l’impression de faire tâche dans cet endroit et c’était pas seulement dut aux traces de sang qu’il laissait derrière lui a cause de ses bottes qui avait patauger dans des flaques de sang lorsqu’il était au quatrième étages.


-Ta pas l’impression qu’on ne devrait pas être ici ?, demanda-t-il a Laura, je sais pas pourquoi, mais...j’ai comme le sentiment qu’un truc lourd va arriver ici.....

Il frissonna, sa tête bouillonnait d’idée farfelue sur ce qu’il allait croisé dans cet endroit trop lugubre a son gout. Il régnait un tel silence et le blanc des murs étaient si intense qu’il commençait a avoir mal aux yeux et a la tête. Avina le guida, lui indiquant quel couloir emprunter via la carte en trois dimensions qui apparaissait sur l’omnitech du japonais avec une petite ligne rouge pour mieux leur indiquer la route, une sorte de fil d’Ariane futuriste en somme.

-Monsieur Keiji, nous avons un problème. Je capte des signaux anormaux d’activité a l’étage ou vous vous trouvez actuellement.

-comment ça ?, j’croyais que avec Titan je t’avais donner accès au bâtiment au complet !.

-C’est inexacte Keiji, Le virus Titan m’offre seulement le contrôle des systèmes de sécurité primaire et secondaire du complexe ainsi que l’accès aux fichiers des ordinateurs connecter en réseaux. Je n’ai pas accès aux contrôles des paramétrages des systèmes de survie des pièces principales et secondaires. Quelqu’un d’autre y a accès, voir plusieurs personnes. De plus, le laboratoire est le seul étage possédant des réseaux uniques pour chaque pièce et section des lieux, chaque accès est contrôler part un ordinateur externe qui ne ce trouve, ni dans le complexe, ni sur ce pays et il semble utilise un réseaux personnifier auquel je ne peux pas avoir accès sans les code adéquat. Il y a actuellement des éléments pathogène hostiles qui se dirige vers vous, je ne peux dire avec exactitude qu’elles sont ces choses, elles ne ressemble a aucune espèce animal connu actuellement.

L’image de la carte diminua d’un coup pour laisser place a une autre moins agréable a regarder. Une créature d,aspect cauchemardesque se déplaçait sur quatre pattes a vive allure. Ce qui lui servait de bouches étaient allonger et la ou les maxillaires se terminait des dizaines d’excroissances semblables a des cornes de différentes tailles lui sortaient tout autour de la tête. La créatures n’avaient pas de yeux ou de systèmes visuel commun, mais semblait voir d'une autre manière, l'odorat ou alors une vision thermique sensoriel ce dit Keiji. Les pattes étaient horriblement musclé, longs et garnit de longues griffes noires a leur extrémité. Une longue queue reptilienne, semblable a celle d’un crocodile gardaient la créature en équilibre et ce terminait part une paires de pinces tranchantes. Ce qui était le plus horrible, hormis l’aspect de la créature, était qu’elle était dépourvue de fourrure, d’écailles ou de cuir. Les muscles, tendons et les articulations étaient totalement visibles, comme si les créatures étaient inachevé !.

-Putain de merde !, s’exclama Keiji en voyant l’image, mais qui est le dingue qui a créer cette chose !!.

Ce n'était pas vraiment une question, mais Avina en conclu que s'en était une et s'activa a y répondre immédiatement.

-Herbert Von Srabiniski, généticien Polonais, chef responsable du département de développement biologique et génétique d’entrainement., déclara Avina. D’après les fichiers crypté, ces créature ont été croisé a partir de différent souche ADN d’animaux. La listes est trop longues et chaque créatures semble avoir subit d’importantes mutations, modifications ou clonage pour que je puisse reconnaitre les traits des animaux d’origine, mais je reconnais les structures moléculaires du lion, du cheval, de l’ours, du loup et de l’humain. Apparemment, Herbert devait créer une sorte de bête de combat pour les futur entrainements de mademoiselle Laura, seulement les créatures étaient trop instables sur le plan émotionnel, le projet a été fermer et Herbert affecté a d’autres projet, il semblerait qu’il ait continuer ses travaux en secret malgré tout la surveillance qu’il avait sur lui. J’ai réussi a bloquer le trois quart de expériences de Herbert et les guides actuellement vers une salles sceller. Mais je n’arrive pas a coincé les derniers qui courent vers vous. Ils sont trop rapide pour les portes. Je ferme celle se trouvant a dix mètres devant vous Monsieur Keiji, suivez la route pour sortir vers les portes menant aux escaliers.

-combien il y avait d’élément pathogène actif ?

-cent vingt trois monsieur

-et combien t’échappe actuellement ?

-quatre-vingt monsieur.

-génial...dit-il d’un ton hautement sarcastique.

Les tunnels étaient sceller sur trois directions, il n’avait qu’a suivre la direction indiquer part Avina. Il fit signe a Laura de le suivre, d’abord a un rythme normal, jusqu’à courir. Les rugissements des créatures pouvaient a présent résonné a ses oreilles et ils pouvaient entendre leur griffes déchiré le métal des portes de sécurités. Keiji gardait en tête de trouver toute information sur ce Herbert lorsqu’il sortirait de cette fichu base secrète, afin de lui arracher la tête.

-ces bestioles ont une faiblesse ?, cria Keiji en tentant de garder son calme

-D’après les données de monsieur Srabiniski, les créatures, qu’il a nommé homoncules, référence a ce que les Alchimiste cherchait a créer, sont hautement sensibles au feu et sécrète naturellement une substances inflammable, mais hautement toxiques. Surement un moment qu'il a spécial créer au cas ou il aurait besoin de ce débarrassé e ses créations s'il en avait plus besoin ou qu'elle devenait gênante ou incontrôlable.

Une idée vint subitement dans la tête de Keiji.

-de là ou je suis ou ce trouve les tuyaux a propane ?

-je détecte plusieurs tuyaux a dix mètres sur votre droite et d’autre directement sur votre gauche.

-parfait !!.

Il retira son omnitech et le donna a Laura.

-prend le et suit les conseils de Avina, Je te rejoins au deuxième étage dans dix minutes. Si je suis pas la d’ici la, sort d’ici et garde mon omnitech. Il te serra très utile. Allez, dégage maintenant !

Il lui tourna le dos et commença a retirer les panneaux des murs pour avoir accès a la plomberie. Il les plia tous un après l’autre. L’air commençait rapidement a être saturé part le gaz, mais pas assez aux gout du japonais qui se mit a plier les autres tuyaux dans l’autre direction qu’avait indiquer Avina afin que son plan soit un succès. Finalement prêt, il dégaina sa dague. Les hurlements incessants des Homoncules continuaient d’augmenté en intensité, signe évident qu’ils se rapprochaient. Le premier arriva et reçu le ninjato du dieu japonais en plein dans les cotes, la créatures gémi, mais continua sa course, rejoignant ses homologues qui sautaient en même temps sur leur proie en montrant griffes, crocs et cornes pour le tuer. Mais ils furent cueillit comme du blé part une lance en acier. Brisant leur corps d’un coup puissant, les fessant voler jusqu’au plafond avec une rare violence. Keiji en tuait un ou deux, hurlait de douleur en sentant les griffes de ces monstres glisser sur sa peau. Il n’était pas blesser, mais la sensation était désagréable, tout autant que celle des crocs qui lui rentrait dans la chair ou les cornes sans percer sa peau. Finalement submergé part ces monstres horribles, il invoqua le vent, créant des bulles d’airs qui tournaient pour dégager ces monstres dont les tailles étaient différent l’un des autres. Satisfait du nombre et assurez que Laura avait atteint ou était proche d’atteindre les escaliers, il lança un éclair sur un monstre qui prit feu. Une vague de chaleur incroyable l'enveloppa et tout ce qu’il vit a ce moment était une immense lumière dansante de jaune, orange et de rouge alors que tout ce qui l'entourait disparaissaient en des dizaines de milliers de petit morceaux.
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